Le jeu Lost in time qui transporte des candidats dans des mondes virtuels (âge de glace, Moyen-Âge, conquête de l’Ouest…) dans lesquels ils doivent remporter une série de défis afin de toucher le jackpot. (Crédit photo : Coktel Vision)
De nouveaux formats émergent sous l’influence des écrans Internet. Instagram et Shazam deviennent des programmes. La réalité virtuelle arrive à la télé.
Après la guerre froide, l’union sacrée? Si Internet a longtemps fait office d’épouvantail pour les chaînes de télévision, voilà que le numérique et son cortège de nouvelles technologies deviennent une source d’inspiration fertile. Contenus TV dédiés exclusivement aux réseaux sociaux, programmes inspirés par… [Lire la suite sur Le Figaro]
Des séries formatées pour les smartphones et destinées aux jeunes, c’est le pari de Blackpills qui devrait arriver en fin de semaine via les magasins iOS et Android.
Cette application est présentée dans un communiqué repris par Le Monde comme « un média [numérique] qui crée, produit et diffuse des formats courts, radicaux et engagés destinés aux jeunes adultes pour une consommation “mobile first” »… [Lire la suite sur 20 Minutes]
C’est un évènement pour les lecteurs et pour la planète édition. La Croatie est le premier pays au monde à proposer aux habitants et aux touristes une Free Reading Zone (FREZ) c’est-à-dire une zone de lecture gratuite.
No Shelf required et Total Boox ont uni leurs forces pour transformer le pays en une bibliothèque virtuelle ouverte accessible via une application gratuite pour les résidents et les touristes.
A nouvelle année, nouveau défi. Après les séries et les webséries, la RTBF parie plus que jamais sur son développement numérique et investit Snapchat, réseau social favori des 15-24 ans. Son objectif ? Y proposer dans les… [Lire la suite sur La Libre]
Norman, Cyprien, Le joueur du Grenier, ces créateurs de contenu connaissent de très bon succès financiers, ils pourront accroître leurs revenus grâce à une nouvelle fonctionnalité de Youtube : Super Chat.
Lors d’un livestreaming il est désormais possible d’acheter un Super Chat, c’est-à-dire que comme sur Twitch vous pouvez faire… [Lire la suite sur Siècle Digital]
Le jeune géant de la musique numérique pourrait offrir jusqu’à 1 milliard de dollars pour racheter son concurrent. Une étape majeure dans sa stratégie, qui lui a déjà permis de…
Facebook a présenté un nouveau design pour ce qui est le symbole le plus indissociable du réseau social : le bouton like. Les autres boutons que sont Share, Follow et Save to Facebook ont eu aussi vu leur apparence modernisée… [Lire la suite sur Siècle Digital]
BitTorrent fait évoluer son service “Bundle” en “Now”, un service de streaming musical et vidéo financé par la pub. Mais l’offre de contenu est faible et l’interface de l’app Android discutable.
BitTorrent ne sert pas qu’à pirater des films : si on connaît essentiellement le protocole d’échange de fichiers, BitTorrent est aussi une entreprise qui… [Lire la suite sur 01net]
Selon de nouveaux rapports, le spécialiste de la VoD Netflixserait actuellement en train de développement un mode d’accès hors ligne pour son service.
La position de Netflixvis-à-vis du mode hors ligne a largement évolué ces dernières années. Initialement, le directeur de la communication affirmait que cela n’arriverait jamais. Puis Amazon est…[Lire la suite sur Clubic]
L’éditeur de vidéo à la demande Wakanim nous présente un tout nouveau système de distribution de ses programmes avec la mise à disposition de cartes VOD collector.
Lancement prévu lors de Japan Expo 2016, puis de façon régulière, ce qui permettra aux amateurs de les collectionner ou bien sur de les offrir.
Depuis le début de l’année, la plateforme d’Instagram a vu arriver beaucoup d’évolutions destinées à l’ensemble de ses utilisateurs. Dans un premier temps, le multi-compte a fait son apparition sur iOS, permettant de… [Lire la suite sur Siècle Digital]
Nous sommes à une étape dans l’évolution des réseaux sociaux où la vidéo occupe une place stratégique. Que ce soit pour de la publicité, du divertissement ou de l’information la vidéo sera LE contenu pour 2016 si elle ne l’est pas déjà pour 2015.
Si YouTube semble se reposer sur ses lauriers de 200 millions d’heures de consommation quotidiennes, Facebook poursuit de se développer. Le réseau social de Mark Zuckerberg a annoncé récemment que… [Lire la suite sur Siècle Digital]
Un symbole de plus de la mutation de la presse. Le quotidien britannique “The Independent”, dont les ventes sont en chute libre depuis quelques années, arrête son édition imprimée et passera au 100% numérique à partir du… [Lire la suite sur L’Obs]
Aujourd’hui, l’international ne représente, au “New York Times”, que 12 % du nombre total des abonnements sur Internet. Mark Lennihan / AP
Le New York Times a décidé d’élargir un peu plus ses horizons en lançant, lundi 8 février, une édition numérique en espagnol. Cette nouvelle publication, qui comprend à la fois des contenus originaux et une quinzaine d’articles traduits tirés de la version américaine, illustre la volonté du quotidien américain de… [Lire la suite dans Le Monde]
Présents partout avec de nouveaux modes de fonctionnement s’adaptant aux nouvelles technologies, les services liés aux médias audiovisuels se devaient d’être encadrés par un nouveau texte de l’Union européenne. C’est ce que la Commission européenne compte faire pour l’année 2016.
Cela fait plus de cinquante ans que la télévision a pris une place considérable dans notre quotidien. Depuis, elle n’a jamais été détrônée. Une étude Eurobaromètre montre que… [Lire la suite sur France Soir]
Pour la première fois de son histoire, Twitter a annoncé une baisse du nombre d’utilisateurs au dernier trimestre 2015. Dans le même temps, le chiffre d’affaires atteint des sommets ($710 millions) mais les bénéfices se font toujours attendre. Sur la même période, Twitter a perdu… [Lire la suite sur Le Blog du Modérateur]
Sept oranges. C’est le message codé qui a été posté sur Twitter par Netflixce 5 février. Derrière ces fruits en emoji, se cache une très bonne nouvelle pour les fans de la série “Orange is the New Black“.
Le papyrus de César, dernière aventure d’Astérix, est la BD la plus vendue de l’année 2015, avec 1,6 million d’exemplaires écoulés.
La Fnac entre au capital d’Izneo, plateforme de distribution et de lecture de BD numériques.
Petit, encore, mais de moins en moins année après année. Le marché de l’édition numérique, en 2014, était selon le Syndicat national de l’édition (SNE) en progression de 53%, à 161 millions d’euros. Si les données pour 2015 ne sont pas… [Lire la suite sur LSA]
Spotifylance son application Music Matchmaker. Un outil tout spécialement destiné aux agences média européennes. Il permet aux célibataires qui y travaillent de trouver l’amour à l’occasion de la Saint-Valentin. Disponible dans 12 pays européens dont la France, Music Matchmaker interroge les… [Lire la suite sur CBNews]
L’apparition du numérique a entraîné une transformation profonde des modèles de production et de circulation des livres. Le web, en particulier, a provoqué une remise en question du sens même du partage des connaissances : d’une économie de la rareté, nous sommes passés à la surabondance. Mais contrairement à ce que…
Les certifications 2015 sont probablement les dernières à ne se baser que sur les ventes de disques. – SNEP
Les États-Unis ont intégré les vues sur YouTube et les écoutes en streaming dans leur mesure du succès commercial des musiques. La France se dirige vers une révolution équivalente.
1.500 vues sur YouTube comptent désormais autant que la vente d’un album aux États-Unis ! Depuis le 1er février, l’association américaine qui attribue les… [Lire la suite sur BFMTV]
8-Options faisait partie des entreprises que nous devions absolument rencontrer lors de la Japan Expo 2015. David8M, le producteur et scénariste du manga, était accompagné du mangaka Dara, dessinateur de 8-Options. Sur le stand, nous avons dévoré d’une traite 8-Options et quand nous sommes arrivées à la fin de l’histoire, nous avons fait notre devoir : nous avons voté pour la suite. En effet, 8-Options est un webcomic interactif, disponible en français et en anglais, et où l’histoire évolue en fonction des votes des lecteurs. Cette après-midi de juillet caniculaire, David8M nous avait généreusement offert un rafraîchissement. Aujourd’hui, il nous fait l’honneur de répondre à nos questions.
Qui êtes-vous et comment vous êtes-vous retrouvé à créer 8-Options ?
David8M
Je m’appelle David Heim, alias David8m. Je suis le scénariste et l’éditeur de 8-options. Je travaille dans le domaine de la pop culture, des jeux vidéo et des mangas depuis que j’ai 14 ans. J’en ai 32 aujourd’hui, j’ai donc littéralement passé plus de la moitié de ma vie dans cet univers qui me passionne.
Pourquoi le choix du participatif ?
Pour pouvoir impliquer le lecteur dans la création. D’ordinaire, la création d’une BD, d’un comics ou d’un manga est quelque chose d’assez solitaire. Grosso modo trois personnes partagent le processus créatif. Je voulais pouvoir réintégrer le lecteur dans le processus de création, qu’il ait une véritable responsabilité dans l’avenir des héros.
Quels ont été les premiers obstacles que vous avez rencontrés et comment les avez-vous franchis ?
Dara nous fait une dédicace lors de la Japan Expo 2015
Le premier obstacle fut de trouver le dessinateur pour 8-options. Il fallait qu’il puisse dessiner des personnages, des objets, et des décors très variés. Il fallait aussi qu’il dessine vite pour pouvoir suivre le rythme de parution une fois les choix décidés par les lecteurs. Finalement, il fallait qu’il soit sympa, car étant donné que je vais discuter avec lui quasiment tous les jours, je voulais une personne agréable et intelligente. Du coup, il m’a fallu deux ans pour trouver ma perle rare… qui est Dara, que je n’échangerais pour rien au monde. On a donc lancé 8-options ensemble en septembre 2013.
Ensuite, il a fallu trouver la dénomination de l’œuvre, chose qui n’est pas aisée. 8-options mélange allégrement les styles tantôt manga, tantôt nouvelle BD, tantôt comics, en ligne donc avec le webcomic. Au final Webcomic a été gardé, car il s’intègre plus dans une mouvance « online » et peut être utilisé pour de nombreux styles graphiques et narratifs.
Pour finir, il a fallu trouver un rythme entre les différents votes du public. On a trouvé un bon équilibre avec en moyenne un vote toutes les 5 pages.
Comment communiquez-vous autour d’8-Options ?
Nous acquérons de nouveaux lecteurs principalement à travers les réseaux sociaux, notre site internet, notre application iphone/ipad et quelques festivals.
La bannière géante de 8-Options au Festival Japan Expo (France)
Qui sont les lecteurs d’8-Options ? Combien sont-ils ? Comment ce nombre évolue-t-il ?
Le lectorat de 8-options a beaucoup bougé ces derniers temps. Nous sommes passés à environ 2.500 fans, ce qui représente +25% en 2 mois. Le dernier pic comptabilisait plus de 700 votes en décembre dernier. 30% de votants, c’est énorme. C’est exactement ce que nous voulons, avoir un lectorat qui progresse à son rythme, mais fidèle.
En permettant aux lecteurs d’influer sur l’histoire, vous les rendez acteurs de l’aventure 8-Options. Avez-vous des retours d’expérience ?
C’est particulièrement gratifiant de voir les gens s’exciter sur tel ou tel choix en taguant leurs amis pour qu’ils votent pareil. Par contre, ça a aussi son revers de la médaille : Ceux qui ont choisi l’option qui ne gagne pas sont un peu déçus.
Malgré tout, j’espère qu’ils prennent du plaisir en interagissant avec nous.
Internet, réseaux sociaux, iPhone, iPad. Tout ça, en français et en anglais. Une version papier est prévue : un tirage de 20.000 exemplaires du tome 1 sera fourni gratuitement à tous les visiteurs de Polymanga (le festival suisse).
Médiamétrie vient de publier les résultats de son étude VOD360 qui permet de mieux comprendre le comportement du public face aux nouveaux modes de consommation de la vidéo : Replay, VOD et SVOD. DHR s’est procuré les points clé de…
La bataille Netflix/HBO ne se déroule pas qu’aux Etats-Unis. Elle vient de gagner subitement toute la planète depuis l’extension du service de SVOD américain dans 130 nouveaux pays.
Alors que Netflix comptait 26 millions d’abonnés à l’international fin septembre 2015, HBO en comptabilise 92 millions dans le monde dans 60 pays, en dehors des Etats-Unis. Sans compter… [Lire la suite sur ZDNet]
Orange renverse le modèle. Le fournisseur d’accès à internet propose à ses abonnés une opération au titre explicite : « Achat digital, DVD offert ».
On connait bien les « copies digitales » accompagnant de nombreux produits audiovisuels vendus sur supports physiques. Vous achetez un DVD, un Blu-ray ou un vinyle et vous obtenez dans l’emballage un code… [Lire la suite sur Clubic]
Pour promouvoir un futur service de VOD sur abonnement, Apple chercherait à bénéficier de contenus exclusifs, qu’il produirait ou achèterait.
Avec Apple Music, Tim Cook voulait la peau de Spotify et pourrait peut-être y arriver, à en croire certains analystes. Désormais, il voudrait… [Lire la suite sur 01net]
La vidéo à la demande par abonnement se diffuse en France, mais les clients sont encore rares. C’est ce que dévoile une récente étude de Médiamétrie. Ce type de divertissement est pourtant bien connu.
La vidéo à la demande par abonnement (SVOD) a encore beaucoup de chemin à faire pour convaincre les Français. Une enquête menée… [Lire la suite sur Numerama]
Les amateurs d’art en ont forcément entendu parler ou du moins, cela ne saurait tarder. Artips est une start-up française qui a commencé comme une newsletter à la fois drôle et intelligente qui, trois fois par semaine, présente de façon simple, une anecdote autour d’une œuvre d’art. Elle a conquis plus 200 000 abonnés à ce jour. Le 26 décembre dernier, les abonné.es à la newsletter ont eu l’heureuse surprise de découvrir l’application mobile Artips, disponible sur Android et iPhone. Nous avons interviewé Coline Debayle, co-fondatrice de la startup qui, en créant des temps de contemplation dans le quotidien de nos vies actives, réinvente tout un art de vivre.
Coline Debayle, comment votre parcours vous a-t-il menée à la création d’Artips ?
Coline Debayle, co-fondatrice
Diplômée de Sciences-Po et d’HEC Paris, j’ai découvert l’entrepreneuriat lors de mon année d’échange à Berkeley, en Californie. Pour autant, je ne pensais pas être capable d’être moi-même entrepreneure. Ce n’est qu’en multipliant les rencontres et les stages dans des univers très variés que j’ai pu me décider. J’ai, par exemple, effectué un stage chez Michel&Augustin, qui était alors une jeune start-up, dans du conseil pour le micro-crédit, dans le fond d’investissement Creadev. J’ai rencontré mon associé alors que j’étais en dernière année à Sciences Po lors d’un start-up week-end et j’ai lancé Artips.
Quel(s) besoins) avez-vous remarqué(s) avant de créer Artips ? Quels défis souhaitiez-vous relever ?
Le projet est né d’une frustration que je partageais avec mon associé, Jean Perret. J’étais très attristée de constater que, dans la vie active, on manque de temps pour se cultiver ou pour visiter des expositions. Jean, quant à lui, se levait tous les matins à 5 heures afin de lire de l’histoire de l’art avant d’aller développer des solutions techniques innovantes. Nous souhaitions tous les deux rendre l’art accessible à tous, en terme de temps mais aussi de contenus.
Pourquoi le format de la newsletter ?
Une newsletter, c’est accessible à tous. Aujourd’hui, presque tout le monde a une adresse mail. Cela permet aux utilisateurs de lire leur anecdote sur n’importe quel support (ordinateur, mobile ou tablette) et à n’importe quel moment. On peut profiter de son anecdote à n’importe quel moment, n’importe où.
Vous avez fait le choix d’une tonalité décalée et optimiste. Qu’est-ce qui motive un tel choix ?
L’histoire de l’Art est souvent jugée compliquée, inaccessible et pas très amusante. Avec Artips, nous voulons dépoussiérer cette image. Nous voulons permettre aux gens de se cultiver en s’amusant. Et surtout, nous voulons parler au plus grand nombre et notamment à ceux qui sont novices. Ce type de format permet aussi une meilleure mémorisation. Il est beaucoup plus facile d’apprendre une anecdote courte et drôle qu’une définition encyclopédique. C’est pour cela que nous avons choisi ce ton décalé et facile d’accès.
Tout le monde peut être intéressé par Artips ! Quel que soit l’âge ou le niveau d’éducation, nos anecdotes parlent à tous. Le ton Artips permet d’intéresser des personnes totalement novices mais aussi des personnes beaucoup plus expérimentées. Chacun trouve son niveau de lecture.
Vous avez récemment lancé l’application mobile Artips. Était-ce un choix que vous aviez dès le départ ou un besoin exprimé par les abonnés de la newsletter ?
Nous avons lancé l’application mobile Artips car nos lecteurs en ont exprimé l’envie. En effet, ils souhaitaient pouvoir retrouver l’ensemble de nos anecdotes sur un même musée ou même peintre en un clic. Beaucoup nous ont demandé aussi si on pouvait raconter des histoires sur des expositions pour accompagner leur visite. Nous avons donc lancé « Les 10 secrets de… », une application mobile qui regroupe les 10 meilleurs secrets des plus grands musées et expositions de France (et bientôt d’Europe !)
Développez-vous des partenariats avec des musées et galeries d’art, dans le cadre de projets de médiation culturelle numérique, par exemple ?
Nous avons déjà des partenariats avec des musées. Nous mettons en avant une œuvre de leur exposition ou de leur collection permanente à travers une histoire ludique et nous l’envoyons dans la newsletter. Nous avons déjà travaillé avec Le Louvre, le Musée Rodin, le Palais de Tokyo, le Palais des Beaux-Arts de Lille ou encore le MUCEM.
Pourra-t-on bientôt placer de la publicité dans les newsletters ou sur l’application ? (par exemple, des annonceurs issus du milieu culturel)
Nous tissons déjà des partenariats avec des musées qui souhaitent parler de leur expo ou leur collection permanente. Mais nous racontons toujours une histoire à la manière d’Artips. Nous ne ferons jamais de publicité sauvage, avec des bannières. La qualité de nos envois est vraiment une priorité.
Sur les newsletters, on peut voir que vous recherchez de nouveaux rédacteurs : est-ce pour donner à Artips une dimension de co-création (crowdsourcing, des contenus open-source) ?
La plupart des rédacteurs ont leurs préférences en matière d’art. Avoir un grand nombre de rédacteurs nous permet de varier les anecdotes et de parler de tous les styles.
Combien d’abonnés avez-vous à ce jour ? Quel est le prochain défi d’Artips ?
Musiktips
Nous avons déjà 200 000 lecteurs ! Nous venons de lancer Musiktips. Les abonnés recevront chaque samedi une anecdote insolite à propos d’un chanteur, d’un musicien ou d’un compositeur. C’est une newsletter qui fonctionne comme Artips : gratuite, par e-mail et toujours le même ton décalé et amusant.
Les vidéos seront des formats courts, disponibles à tous et destinées aux amateurs de musique.
La rumeur enflait, elle désormais confirmée : la plateforme suédoise de musique en ligne Spotifyva proposer d’ici la fin… [Lire la suite sur L’Express]
On croyait le service de streaming musical Hi-Res au tapis. Il n’en est finalement rien : fraîchement racheté par Xandrie, Qobuz annonce ses futures évolutions, et semble bel et bien décidé à jouer des coudes avec les Spotify, Deezer, Apple Music et consorts.
Yves Riesel, le fondateur de Qobuz, se retire. Celui qui a un jour rêvé d’un service de streaming en HD passe… [Lire la suite sur Übergizmo]